28 novembre 2021 – 949

LUNDI.            

Vie littéraire.

Je boucle et envoie à la mise en page le Bulletin de l’Association Georges Perec n° 79 après y avoir intégré une dernière information, une surprise rencontrée la semaine dernière au cinéma : les débuts d’actrice, à 93 ans, de Suzanne Lipinska, responsable du Moulin d’Andé, dans Albatros de Xavier Beauvois. C’est un retour aux activités d’avant que j’ai plaisir à retrouver, comme celle qui consiste à retourner en classe. Pas tout à fait dans les mêmes conditions mais en position d’auditeur, à l’hôpital, où je suis, en préambule aux exercices physiques, des sessions de formation sur l’anatomie, la pharmacologie, la diététique, le stress, toutes choses susceptibles d’intéresser un jour ou l’autre les patients cardiaques. C’est souvent intéressant, j’écoute, je prends des notes, je limite les bavardages, je lève le doigt, je participe et j’espère que mon bulletin trimestriel sera rempli d’éloges. La semaine dernière, l’échographie réalisée par le cardiologue a donné, selon son rapport, des résultats “tout à fait satisfaisants”. Avec ça, si je n’obtiens pas les félicitations, c’est à n’y rien comprendre.              

Lecture.

Ontogénie (Alfred Jarry, in “Œuvres complètes I”, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade n° 236, 1972; textes établis, présentés et annotés par Michel Arrivé; 1328 p., s.p.m.).                          

Alfred Jarry a regroupé sous ce titre ses juvenilia, écrits de jeunesse, voire d’enfance puisqu’ils datent des années 1885-1890. Jarry a alors entre 12 et 17 ans et passe du lycée de Saint-Brieuc à celui de Rennes. On trouve dans ce dossier des poèmes d’inspiration classique (“Le Chien d’Ulysse”, “Le Déluge”…) mais surtout des petites pièces d’une veine potachique dans lesquelles on devine l’Ubu à venir.  

MERCREDI.                   

Éphéméride.

“24 nov. 2008. Ce n’est pas demain que l’homme posera sa fusée dans le petit monde de la musaraigne.” (Éric Chevillard, L’Autofictif voit une loutre)    

JEUDI.          

Lecture.

Critique n° 883 (Éditions de Minuit, décembre 2020; 12 €).                        

“Rohmer, Rivette Truffaut : l’âge critique”    

VENDREDI.                  

Le cabinet de curiosités du notulographe.

Niaiserie du langage relatif à la petite enfance.  

  Le Syndicat (Vosges), photo de l’auteur, 23 août 2020

Le Journal de la Haute-Marne, 9 mai 2018, document transmis par Jean-François Fournié

SAMEDI.              

Films vus. 

  • Attention les yeux ! (Gérard Pirès, France, 1976)                               
  • Exit (Peter Lindmark, Suède, 2006)                               
  • Les Choses humaines (Yvan Attal, France, 2021)                               
  • Gloria (John Cassavetes, É.-U., 1980)                               
  • Ammonite (Francis Lee, R.-U. – Australie – É.-U., 2020)                               
  • Tout pour être heureux (Cyril Gelblat, France, 2015)                               
  • Cry Macho (Clint Eastwood, É.-U., 2021).                

L’Invent’Hair perd ses poils.  

  Aubusson (Creuse), photo de l’auteur, 27 juillet 2014

La Haye-Pesnel (Manche), photo de Clotilde Eav, 29 février 2012

IPAD (Itinéraire Patriotique Alphabétique Départemental).

23 août 2020. 84 km. (39 193 km).  

649 habitants

Sur le mur de la Mairie est vissée une plaque de granit noir signée “I. Étienne à Planois”. Les deux colonnes de noms sont séparées par un grand rameau métallique.  

  1914-1918
La Commune de Sapois à
Ses morts de la Grande Guerre

 
   Colonne de gauche : 24 nom de CHAINEL Louis à LACÔTE Georges
   Colonne de droite : 23 noms de LAMBERT Auguste à VOIRIN Nicolas

   Un peu plus loin, sur le mur de l’école, une autre plaque plus récente porte les noms des morts de 1939-1945.                

Poil et plume.

18 juin [1959] Court voyage à Bruxelles avec Joxe, histoire de livrer une deux-chevaux chez M. de Carbonnel. La Grand-Place illuminée, curieux mélange du Palio de Sienne et d’un décor du Châtelet. Le matin, nous en profitons pour aller voir le Jeune Homme inconnu de Memling. Avant ce déjeuner avec l’ambassadeur, j’ai la malencontreuse idée de me faire raser par un coiffeur. Je sors de chez lui en sang, des touffes de coton plein les joues, ridicule comme un Père Noël dont on aurait mal arraché la barbe. Bien élevé, notre hôte feint de ne rien voir.” (Matthieu Galey, Journal intégral 1953-1986)    

Bon dimanche,    

Philippe DIDION    

21 novembre 2021 – 948

DIMANCHE.                   

Lecture.

Les Sœurs Rondoli (Guy de Maupassant, Ollendorff, 1884, rééd.  in « Contes et nouvelles », Robert Laffont/Quid, coll. Bouquins, 1988, vol. 1; 1160 p., 120 F).                                   

Nouvelles.  

MERCREDI.                   

Éphéméride.

“Saint Denis, 17 novembre 1959  

Monsieur et Maître,  

Ah ! que c’est donc beau l’instruction !!

Votre zazye est un chef-d’œuvre du genre; mais faut-il que vous ayez un gros bagage de grammaire “Franzaize” pour vous permettre d’en jeter à gogo par-dessus bord. Hélas ce n’est pas mon cas et j’en rage (cela après avoir lu votre zazye). Aidez-moi à corriger un roman écrit depuis trois ans et qui attend un homme de bonne volonté et un éditeur que je n’ai pas encore cherché; or vous pouvez être cet homme de bonne volonté à deux dimensions, Queneau Gallimard. […]” (Dominique Charnay, Cher Monsieur Queneau : Dans l’antichambre des recalés de la littérature)                     

Lecture.

Je bois, je fume et je vous emmerde (Professeur Choron, Régine Deforges, 1992 pour l’édition originale, rééd. Wombat, coll. Poche comique n° 1, 2016; 64 p., 6 €).                                 

Ma fréquentation assidue des salles d’attente ces derniers temps me donne de nouvelles plages de lecture. Pas question en ces lieux de jouer au poseur en exhibant Proust ou Spinoza, je préfère me consacrer à des ouvrages de taille modeste, faciles à ranger dans mon dossier médical, choisis pour leur titre percutant comme celui-ci ou La Vie sexuelle d’Emmanuel Kant. Je lis alors à couverture bien déployée, histoire d’intriguer le voisinage, ce qui ne se produit bien sûr jamais : en ces lieux, les gens ont l’œil rivé sur l’écran de leur téléphone de poche et l’irruption du pape en tutu ne leur ferait pas lever un sourcil. N’importe. Je rends ainsi hommage à mon ami FPP qui pratiquait, avec plus de succès que moi, le même jeu. Appelé régulièrement à prendre le train sur de longues distances – c’était avant l’arrivée du TGV et lire était alors une occupation assez répandue chez les voyageurs – il prenait un billet de première classe, s’installait au beau milieu d’une voiture Corail et se plongeait ostensiblement dans la lecture, feinte ou réelle mais toujours renouvelée, de la biographie de la mère Denis, vedette de la publicité de l’époque. Il était alors fréquent, me disait-il, que des sourcils froncés apparaissent au dessus des pages du Figaro ou du Monde agitées par ses compagnons de voyage.  

 Un voisin trop discret (Parallax, Iain Levison, 2021 pour l’édition originale, Liana Levi, 2021 pour la traduction française, traduit de l’américain par Fanchita Gonzalez Batlle; 224 p., 19 €).

Iain Levison est passé maître dans l’écriture de polars secs et nerveux, donnant lieu à une lecture rapide et plaisante. Après avoir traité des séquelles de la guerre du Vietnam dans son ouvrage précédent (Pour services rendus), il reste ici dans le domaine militaire avec des personnages faisant partie des forces américaines envoyées en Afghanistan. L’un d’eux redoute que son équipier révèle son homosexualité, il profite d’un retour au pays pour essayer de l’éliminer. Allant à rebours des conventions du genre, Levison peut se permettre de mettre en place des intrigues qui n’aboutissent pas, des criminels impunis, des enquêtes incomplètes, des personnages aux motivations et au passé inconnus sans que le lecteur en soit frustré : ça marche, ça captive et on en redemande.    

JEUDI.          

Brève de trottoir.  

 VENDREDI.                  

Le cabinet de curiosités du notulographe. 

Contrepèteries urbaines, photos de l’auteur.  

  Épinal (Vosges), 8 décembre 2015

Strasbourg (Bas-Rhin), 29 octobre 2015

SAMEDI.              

Films vus. 

  • Madres paralelas (Pedro Almodóvar, Espagne – France, 2021)                               
  • L’Ange bleu (Der blaue Engel, Josef von Sternberg, Allemagne, 1930)                               
  • Aline (Valérie Lemercier, France – Canada, 2020)                               
  • L’Homme du labyrinthe (L’uomo del labirinto, Donato Carrisi, Italie, 2019)                               
  • Paris-Willouby (Arthur Delaire, Quentin Reynaud, France, 2015)                               
  • Light of My Life (Casey Affleck, É.-U., 2019)                               
  • Albatros (Xavier Beauvois, France – Belgique, 2021).                

L’Invent’Hair perd ses poils.  

  Cayenne (Guyane), photo de Sylvie Bernasconi, 17 février 2012

Abbeville (Somme), photo de Jean-Damien Poncet, 21 juin 2020

Poil et pellicule.  

Rien que pour vos cheveux (You Don’t Mess with the Zohan, Dennis Dugan, É.-U., 2008)

Bon dimanche,    

Philippe DIDION    

14 novembre 2021 – 947

DIMANCHE.                   

Lecture.

Mes sincères condoléances : Mémoires incroyables d’un croque-mort (Guillaume Bailly, Les Éditions de l’Opportun, 2014; 320 p., 9,90 €).                                 

“Les plus belles perles d’enterrement”                                 

Ce recueil d’anecdotes se révèle plutôt décevant dans la mesure où l’on n’y trouve que ce à quoi l’on peut s’attendre : les chamailleries familiales autour du défunt, l’échange de cercueils, la chute dans la fosse, le curé introuvable, le cadavre oublié, “Allumez le feu” diffusé lors d’une crémation, etc. Il ne manque que le mort qui toque au couvercle de la boîte à dominos après y avoir été enfermé. Guillaume Bailly, qui travaille pour une entreprise de pompes funèbres, est plus intéressant quand il ne cherche pas à être drôle et dévoile quelques aspects peu connus de son métier comme les relations avec la police ou avec le corps médical. Reste que son livre a dû rencontrer un certain succès puisqu’un deuxième tome de ses souvenirs a été édité deux ans plus tard.

MERCREDI.                  

Éphéméride.

Jean Dubuffet à Gaston Chaissac  

Vence, 10 novembre [19]61  

Tu es exilé à Vix et moi à Vence. Je ne vois plus guère jamais Chave ni d’ailleurs personne et je vis enfermé dans mes ateliers comme un prisonnier nostalgique. Je travaille très activement à mes peintures car depuis plusieurs mois j’ai changé radicalement mon style et la mise au point de travaux d’un nouveau style nécessite de nombreuses expériences, tâtonnements et cafouillages qui demandent beaucoup de temps, de sorte que cette claustration à Vence convient très bien. Cependant je m’apprête à plier bagage pour me transporter à Paris dans une dizaine de jours. […]” (Gaston Chaissac, Jean Dubuffet, Correspondance 1946-1964)

Lecture.

Défense de sortir (The House Without a Door, Thomas Sterling, 1950 pour l’édition originale, Presses de la Cité, coll. Un Mystère n° 38, 1950 pour la traduction française, traduit de l’américain par Maurice-Bernard Endrèbe, rééd. in « Polars années 50 », vol. 3, Omnibus, 1997; 1096 p., 145 F).    

JEUDI.          

IPAD.

Les notules 890 du 12 juillet 2020 signalaient le travail de recherche entrepris par Benoît Howson sur les aviateurs du Lancaster PB253 abattu au-dessus de Renauvoid en 1944. Cet appareil ne fut pas le seul à tomber dans les Vosges. Il y eut aussi, sur le territoire de Bouxurulles, un bombardier qui s’écrasa le 11 novembre 1939, causant la mort de cinq aviateurs britanniques. À la stèle qui marque le lieu du crash est venue s’ajouter aujourd’hui une plaque commémorative réalisée et inaugurée par l’ami Howson. Ce sont les notules qui ont permis le contact entre celui-ci et le maire de Bouxurulles, autre notulien notoire, et elles en retirent une certaine fierté.    

VENDREDI.                  

Lecture.

Le Monde nouveau de Charlotte Perriand (catalogue d’exposition, Gallimard/Fondation Louis Vuitton, 2019; 4432 p., 49 €).                    

Le cabinet de curiosités du notulographe. 

Commerces divers.  

   Le Havre (Seine-Inférieure), photo de Jean-Damien Poncet, 19 mai 2018

Guéret (Creuse), photo de l’auteur, 16 septembre 2017    

SAMEDI.              

Films vus. 

  • Dark Shadows (Tim Burton, É.-U. – Australie – R.-U., 2012)                               
  • Resistance (Jonathan Jakubowicz, R.-U. – France – Allemagne – É.-U, 2020)                               
  • Vacances explosives ! (Christian Stengel, France, 1957)                               
  • Adorables (Solange Cicurel, Belgique – France, 2020)                               
  • Les Prairies de l’honneur (Shenandoah, Andrew V. McLaglen, É.-U., 1965)                               
  • Les Blagues de Toto (Pascal Bourdiaux, France – Luxembourg – Belgique, 2020).         

L’Invent’Hair perd ses poils.  

Cahors (Lot), photo de Clotilde Eav, 8 février 2012  

Colmar (Haut-Rhin), photo de Francis Pierre, 20 août 2015                

IPAD (Itinéraire Patriotique Alphabétique Départemental).

26 juillet 2020. 69 km. (39 109 km).  

125 habitants     

Pas de monument aux morts visible.                

Poil et plume.

“Si vous voulez, je peux vous conduire à la tombe de l’homme qui était le barbier du docteur Kafka. Il est enterré ici aussi.

– Merci, c’est très gentil à vous.

– C’était aussi le barbier du père du docteur Kafka.” (Philip Roth, Professeur de désir)    

Bon dimanche,    

Philippe DIDION    

7 novembre 2021 – 946

DIMANCHE.                   

Lecture.

Histoires qui virent au noir (Tales to Make You Quake and Quiver, Collectif, Davis Publications, 1982 pour l’édition originale, Pocket, 1998 pour la traduction française, rééd. in « Alfred Hitchcock présente : 100 autres histoires extraordinaires », Presses de la Cité, coll. Omnibus, 1995; 1224 p., 145 F).                          

Nouvelles.    

MARDI.            

Lecture.

Torrents de printemps (The Torrents of Spring, Ernest Hemingway, Charles Scribner’s Sons, 1926 pour l’édition originale, traduit de l’américain par Céline Zins, in “Œuvres romanesques I”, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade n° 186, 1966; 1882 p., 66 €).

MERCREDI.                  

Éphéméride.

Mercredi 3 novembre [1943]  

“Ç’aurait été un gros encouragement pour moi que la publication du Regret dans le dernier numéro de Confluences. Pourtant, je n’avais pas cru que Tavernier tiendrait parole. Ah, dire que la NRF de Paulhan l’aurait publié ! Et je n’espère pas de le voir davantage dans le prochain numéro. Je me demande même si T. n’a pas eu peur.” (Jacques Brenner, Journal, tome I : Du côté de chez Gide 1940-1949)                    

Lecture.

Maison ronde : Radio France de fond en comble (Charlie Zanello, Dargaud, 2020; 202 p., 22,50 €).    

VENDREDI.                  

Bulletin de santé.

On va vers le beau. La douleur s’atténue, j’arrive, avec réticence toutefois, à toucher ma cicatrice pour y appliquer une pommade apaisante. Reste la fatigue, qui n’est pas trop handicapante quand on peut se reposer. Les séances à l’hôpital me laissent à demi-mort, les siestes durent parfois plus d’une heure, je n’arrive plus à me lever avant sept heures du matin. J’ai fait trois promenades d’une heure dans la semaine, vu deux films au cinéma, assisté à un vernissage, tout cela sous la conduite de mes chaperons préférés. J’ai lu presque tous les journaux en retard, m’attardant principalement sur les comptes rendus d’audience auxquels donne lieu le procès des attentats du 13-Novembre. C’est un exercice de haute volée, du journalisme de haute tenue, que ce soit chez Sylvie Caster dans Charlie Hebdo, chez Emmanuel Carrère dans L’Obs ou chez Pascale Robert-Diard et ses collègues dans Le Monde. La semaine prochaine, j’envisage de reprendre le volant et la route de l’IPAD, voilà des mois que je n’ai pas vu de monument aux morts. Et puis il faudra retourner au supermarché, au stade, renouer avec quelques activités domestiques. On va vers le beau, je confirme.                           

Le cabinet de curiosités du notulographe.

Aperçu d’une collection de cocottes, photos de l’auteur.  

  Épinal (Vosges), 16 juin 2015

Librairie du Louvre, Paris (Seine), 25 octobre 2014    

SAMEDI.              

Films vus.

  • Miss Révolution (Misbehaviour, Philippa Lowthorpe, R.-U. – France, 2020)                               
  • Illusions perdues (Xavier Giannoli, France – Belgique, 2021)                               
  • La Dream Team (Thomas Sorriaux, France, 2016)                               
  • Police (Anne Fontaine, France – Belgique – Chine, 2020)                               
  • Munich (Steven Spielberg, É.-U. – Canada – France, 2005)                               
  • Anna (Luc Besson, France – É.-U. – Canada – Russie, 2019).                

Invent’Hair, bilan d’étape.

Bilan établi au stade de 5 300 salons, atteint le 11 février 2021.  

Bilan géographique.  

Classement général par pays.  

  • 1. France : 4 427 (+ 91)
  • 2. Espagne : 179 (=)
  • 3. Royaume-Uni : 110 (+ 4)
  • 4. Belgique : 78 (+ 1)
  • 5. Italie : 61 (=)
  • 6. États-Unis : 45 (=)
  • 7. Suisse : 38 (=)
  • 8. Portugal : 37 (=)
  • 9. Allemagne : 35 (=)
  • 10. Danemark : 34 (=)  

En dehors du top 10, notons l’ajout de trois salons japonais et d’un salon hongrois.  

Classement général par régions (France).  

  • 1. Rhône-Alpes : 721 (+ 3)
  • 2. Île-de-France : 711 (+ 12)
  • 3. Languedoc-Roussillon : 355 (+ 8)
  • 4. Provence-Alpes-Côte-d’Azur : 352 (+ 7)
  • 5.. Lorraine : 328 (+ 10)
  • 6. Midi-Pyrénées : 239 (+ 1)
  • 7. Bretagne 182 : (+ 3)
  • 8. Pays de la Loire : 178 (+ 5)
  • 9. Centre : 171 (+ 16)
  • 10. Bourgogne : 162 (+ 1)  

19 régions sur 27 progressent, en particulier le Centre qui dépasse la Bourgogne au classement général.  

Classement général par départements (France).  

  • 1. Seine (Paris) : 564 (+ 8)
  • 2. Rhône : 340 (=)
  • 3. Vosges : 176 (+ 4)
  • 4. Loire-Atlantique : 132 (+ 2)
  • 5. Hérault : 112 (+ 8)
  • 6. Alpes-Maritimes : 103 (+ 3)
  • 7. Meurthe-et-Moselle : 98 (+ 1)
  • 8. Pyrénées-Orientales : 96 (=)
  • 9. Loire : 93 (+ 1)
  • 10. Bouches-du-Rhône : 92 (+ 3)  

Pas de changement dans le top 10. La plus belle progression vient du l’Eure-et-Loir qui gagne 14 salons et passe de la 52e à la 32e place  

Classement général par communes.  

  • 1. Paris : 564 (+ 8)
  • 2. Lyon : 160 (=)
  • 3. Nantes : 68 (+ 1)
  • 4. Nice : 59 (+ 2)
  • 5. Barcelone : 58 (=)
  • 6. Nancy : 54 (=)
  • 7. Épinal : 47 (=)
  • 8. Marseille : 32 (=)
  • 9. Strasbourg : 27 (+ 1) 10. Toulouse : 25 (=)
  • “. Villeurbanne : 25 (=)
  • “. Le Havre (+ 1)  

Le Havre retrouve le top 10, Nice passe devant Barcelone. Moulins fait une entrée spectaculaire à la 58e place avec 10 salons et Chartres (16e) gagne 40 places avec 12 salons.  

Bilan humain.  

  • 1. Jean-Damien Poncet : 564 (+ 21)
  • 2. Philippe Didion : 404 (+ 12)
  • 3. Pierre Cohen-Hadria : 385 (+ 8)
  • 4. François Golfier : 339 (+ 20)
  • 5. Jean-Christophe Soum-Fontez : 168 (=)
  • 6. Sylvie Bernasconi : 158 (=)
  • 7. Hervé Bertin : 144 (+ 1)
  • 8. Bernard Cattin : 120 (=)
  • 9. Jean-François Fournié : 103 (+ 9) 
  • 10. Benoît Howson : 88 (=)  

Pas de changement dans le top 10.  

Étude de cas. Leurres.  

  Aubusson (Creuse), photo de l’auteur, 29 juillet 2013

Paris (Seine), rue Saint-Martin, photo de François Golfier, 18 novembre 2014  

   Paris (Seine), rue Léopold-Robert, photo de Martine Sonnet, 20 avril 2015

Paris (Seine), rue du Faubourg-Saint-Martin, photo de l’auteur, 30 mai 2015                

Poil et pellicule.  

Un chien qui rapporte (Jean Choux, France, 1932)    

Bon dimanche,    

Philippe DIDION