N.B.
Le prochain numéro des notules sera servi le dimanche 22 octobre 2023.
DIMANCHE.
Lecture.
L’Étoile mystérieuse (Hergé, Casterman, 1942; 62 p., 11,95 €).
LUNDI.
Presse.
Vosges Matin publie aujourd’hui un article sur le notulographe. Je n’y croyais plus car l’entretien à l’origine de ce texte avait eu lieu en mai dernier et je pensais que la journaliste avait abandonné toute idée de publication. Elle m’avait contacté suite aux facéties funéraires que je publie régulièrement sur un réseau, je lui avais donné rendez-vous dans le cimetière de Saint-Jean-du-Marché et lui avais montré quelques tombes et inscriptions intéressantes. Or, on ne rit pas impunément avec la mort, surtout dans un journal local, et j’aurais très bien compris que la dame ait reculé ou qu’on lui ait dit de le faire de peur des réactions éventuelles. Cela n’a pas été le cas et c’est tant mieux, car l’article évite l’écueil “L’homme qui rit dans les cimetières” en proposant un aperçu plus exact de mes motivations, avec ouvertures sur les notules et sur l’IPAD. De plus, la photo choisie pour l’illustrer me montre de dos, au milieu des tombes, c’est parfait. Bref, je suis très content de ce travail et les réactions qui me sont parvenues sont plutôt positives.
Lecture.
Schnock n° 42 (La Tengo, mars 2022; 176 p., 15,50 €).
Patrick Dewaere.
MERCREDI.
Éphéméride.
“Dimanche 13 septembre [1942]
Avec trente-cinq enfants à Saint-Cucufa, journée chaude et fatigante. Laure n’était pas là.
Jean-Paul a tenu parole et nous l’avons vu surgir avec stupéfaction vers quatre heures dans notre clairière.” (Hélène Berr, Journal)
Lecture.
Paul en appartement (Michel Rabagliati, La Pastèque, 2004; 120 p., 19 €).
VENDREDI.
Lecture.
Histoires littéraires n° 2 (Du Lérot éditeur, avril-mai-juin 2000; 168 p., 120 F).
En ce temps-là, la section “Livres reçus” chroniquait 77 livres et revues, et sans prendre de gants : “On ne recommande pas, on l’aura compris. Pour écrire cette brève note de lecture, nous avions posé notre tasse de café sur le livre. Il y a une auréole à présent. C’est bien la seule qu’il mérite.” Dans le dernier numéro que j’ai lu, 8 livres étaient chroniqués. Les temps changent mais le ton reste ferme : le Spinalien Georges Zaragoza a droit à un bel étrillage pour une biographie de Charles Nodier un peu légère.
Le cabinet de curiosités du notulographe.
Religion : mélange des genres.
Fouvent-Saint-Andoche (Haute-Saône), photo de Jean-François Fournié, 12 février 2020
Orgnac-l’Aven (Ardèche), photo d’Antoine Fetet, 27 décembre 2021
SAMEDI.
Films vus.
- EO (Eo, Jerzy Skolimowski, Pologne – Italie – R.-U., 2022)
- Gilbert Grape (What’s Eating Gilbert Grape, Lasse Hallström, É.-U., 1993)
- Citoyen d’honneur (Mohamed Hamidi, France, 2022)
- The Guilty (Den skyldige, Gustav Möller, Danemark, 2018)
- Emily, criminelle malgré elle (Emily the Criminal, John Patton Ford, É.-U., 2022).
Invent’Hair, bilan d’étape.
Bilan établi au stade de 5 900 salons, atteint le 29 décembre 2022.
Bilan géographique.
- France : 4 946 (+ 92)
- Espagne : 185 (=)
- Royaume-Uni : 128 (=)
- Belgique : 94 (+ 1)
- Italie : 66 (+ 1)
- Suisse : 48 (=)
- États-Unis : 46 (+ 1)
- Portugal : 39 (=)
- Allemagne : 36 (=)
- Danemark : 34 (=)
Pas de changement en tête du classement. Belle progression de la Hongrie qui gagne 5 salons pour un total de 8, et passe de la 30e à la 21e place.
Classement général par régions (France).
- Rhône-Alpes : 800 (+ 7)
- Île-de-France : 787 (+ 6)
- Languedoc-Roussillon : 380 (+ 3)
- Lorraine : 371 (+ 1)
- Provence-Alpes-Côte-d’Azur : 360 (+ 5)
- Midi-Pyrénées : 287 (+ 41)
- Bretagne 202 (+ 4)
- Pays de la Loire : 199 (+ 5)
- Centre : 185 (+ 4)
- Bourgogne : 180 (+ 1)
Pas de changement en tête du classement mais on soulignera la performance de Midi-Pyrénées qui réduit un peu le gouffre existant entre les 5 premières régions et les suivantes.
Classement général par départements (France).
- Seine (Paris) : 610 (+ 5)
- Rhône : 346 (+ 1)
- Vosges : 190 (=)
- Hérault : 136 (=)
“. Loire-Atlantique : 136 (+ 1)
- Meurthe-et-Moselle : 111 (=)
- Loire : 108 (=)
- Alpes-Maritimes : 106 (+ 3)
- Pyrénées-Orientales : 96 (=)
- Bouches-du-Rhône : 94 (+ 1)
La Loire-Atlantique revient au niveau de l’Hérault. La Haute-Garonne (12e) se rapproche du top 10 grâce à 31 nouveaux salons et un bond de 18 places.
Classement général par communes.
- Paris : 610 (+ 5)
- Lyon : 164 (=)
- Nantes : 68 (=)
- Barcelone : 62 (=)
“. Nice : 62 (+ 3)
- Nancy : 60 (=)
- Toulouse : 57 (+ 31)
- Épinal : 52 (=)
- Montpellier : 37 (=)
- Le Havre : 33 (=)
“. Marseille : 33 (+ 1)
Toulouse, précédemment 14e, entre dans le top 10 à la 7e place. Reims (30e) gagne 76 places avec 12 nouveaux salons.
Bilan humain.
- Jean-Damien Poncet : 784 (+ 31)
- Philippe Didion : 456 (+ 19)
- Pierre Cohen-Hadria : 426 (=)
- François Golfier : 404 (+ 15)
- Jean-Christophe Soum-Fontez : 175 (=)
- Bernard Cattin : 167 (+ 30)
- Sylvie Bernasconi : 161 (=)
- Hervé Bertin : 160 (=)
- Jean-François Fournié : 139 (=)
- Benoît Howson : 88 (=)
8 contributeurs seulement pour 100 salons : une affaire de spécialistes pour cette centaine. Parmi ceux-ci, Bernard Cattin tire son épingle (à cheveux) du jeu en gagnant 2 places.
Étude de cas. Enseignes sous forme de phrases.
Paris (Seine), rue de la Folie-Méricourt, photo de Yannick Séité, 10 octobre 2018
Plouër-sur-Rance (Côtes-du-Nord), photo de Julien Pauthe, 10 mars 2019
Redon (Ille-et-Vilaine), photo de François Golfier, 19 janvier 2020
Nantes (Loire-Inférieure), photo de Paul Olry, 12 avril 2019
Poil et plume.
“Ma première rencontre avec les cétacés, ce fut sur un paquebot qui desservait la côte d’Afrique, j’étais enfant encore, ou plutôt ce qu’on appellerait maintenant un “ado” (mot où s’entend de l’adoration), mais d’un modèle sage et bien peigné, d’autant que je sortais de chez le coiffeur du bord lorsque j’aperçus les deux dos bruns des cachalots (mon frère, moins chanceux que moi, était encore livré aux ciseaux du figaro, et ne put s’en échapper à temps pour admirer les tranquilles colosses).” (Olivier Rolin, Extérieur monde)
Vie littéraire.
Après Les Refusés la semaine dernière, c’est la revue Scribulations, concoctée par Jean-Marie Dutey, ancien de la Série noire et notulien de la plus belle eau, qui accueille aujourd’hui mes élucubrations – en l’occurrence un extrait de ma lointaine Tentative d’épuisement d’un lieu spinalien. Si l’on ajoute à cela ma présence dans la presse locale, on comprendra que je sois obligé de fuir pour échapper à la pression médiatique. Je devais passer la fin de semaine à Guéret (Creuse), pour assister aux Rencontres de Chaminadour. Là-bas, je connais le correspondant de La Montagne. S’il venait à me mettre le grappin dessus… J’annule. Au soir, nous trouvons refuge chez mon frère à Rhode-Saint-Genèse (Belgique), près de Bruxelles où Alice a été embauchée suite à son stage.
DIMANCHE.
Vie de piéton.
Où l’on s’aperçoit qu’il n’est pas facile de mener à bien un déménagement en plein cœur de Bruxelles le jour de l’opération “Journée sans voiture”.
LUNDI.
Vie au loin.
Brouillons les pistes. Au petit matin, nous sommes à Bâle (Suisse), l’après-midi à Amsterdam (Pays-Bas). Pas assez loin. Le soir, avec le jeu du décalage horaire, c’est Montréal (Québec).
MARDI.
Vie au loin.
Montréal. Nous sommes retranchés dans le quartier Verdun – on ne sait jamais, si jamais un monument aux morts se présente… Le voyage s’est bien passé, si l’on excepte un majestueux vol plané au bout du tapis roulant de l’aéroport d’Amsterdam (que je voyais bien plus long), quelques difficultés à entrer en possession de notre auto de location et, celle-ci étant dépourvue de GPS, à trouver notre logis.
MERCREDI.
Vie au loin.
Nous retrouvons, au marché Jean-Talon, la cousine Marion, installée ici depuis son mariage avec un membre du staff des Canadiens de Montréal. Nous montons ensuite à l’assaut des escaliers qui mènent au belvédère et à la croix du Parc du Mont-Royal. En bas, autour de l’Université McGill, je crois reconnaître le quartier où j’avais assisté au concert de Beau Dommage lors de ma dernière visite. Mais mes souvenirs sont flous et les lieux que nous avions fréquentés alors, la taverne “Aux verres stérilisés” et le Beauceron où nous allions écouter de la musique gaspésienne, ont sans doute disparu. Nous nous replions à pied sur Verdun via Atwater, une belle trotte.
Éphéméride.
“20 septembre [1944]. Déjeuner à la Bibliothèque du Congrès avec Archie. Quelques mots sur Alexis.” (Katherine Biddle, Journal 1940-1970)
JEUDI.
Vie au loin.
Retrouvailles avec Claude, qui nous attend à Québec et nous guide dans un long arpentage de la ville.
VENDREDI.
Lecture.
Le Tableau du maître flamand (La tabla de Flandes, Arturo Pérez Reverte, Alfaguara, 1990 pour l’édition originale, J.-C. Lattès, 1993 pour la traduction française, rééd. Librairie Générale Française, coll. “Le Livre de poche” n° 7625, 1994, traduit de l’espagnol par Jean-Pierre Quijano; 352 p., 8,20 €).
Le cabinet de curiosités du notulographe.
Restauration.
Vesoul (Haute-Saône), photo de Jean-François Fournié, 23 juin 2021
Paris (Seine), rue des Canettes, photo de Bernard Bretonnière, 9 juin 2019
Vie au loin.
Le traversier nous mène de l’autre côté du fleuve, à Lévis où nous sommes accueillis par Jocelyne et Gervais, l’autre moitié du Rêve du Diable, retour d’un triomphe obtenu au festival de Ripon, dans l’Outaouais.
SAMEDI.
Vie au loin.
Adieux aux amis. Nous voilà donc rendus à nous mêmes pour la suite de notre périple. Ce qui m’effraie un peu mais comme tout m’effraie – une vraie moumoune – ce n’est pas bien grave. Lors de mes précédentes visites au Québec, j’étais accompagné d’amis habiles et débrouillards qui savaient faire preuve d’initiative et aptes à faire face à toutes sortes de situations, ce qui est loin d’être mon cas. En ce temps-là, je suivais, je me laissais faire, peinard, béat, insoucieux de tous les équipages. Maintenant, c’est à nous de jouer. Le soir nous trouve à Rimouski, dans une cantine à poutine, égarés au milieu des pick-up monstrueux d’où sortent des gaillards bâtis comme des montagnes.
Volière du Québec.
Identification d’un Geai bleu, d’un Bruant à gorge blanche et d’un vol de Bernaches du Canada.
L’Invent’Hair perd ses poils.
Bellême (Orne), photo de Christophe Hubert, 8 août 2012
Paris (Seine), rue de Rochechouart, photo de Jean-Damien Poncet, 6 septembre 2019
Poil et plume.
“… je me souvenais que lorsque j’étais gamin mes parents m’envoyaient, de l’autre côté du square où nous habitions, chez un coiffeur qui après m’avoir “rafraîchi” plaquait sur mon crâne de la “Gomina argentine” ou bien du “Pento”, un produit qui faisait le même miroitant effet – je revois le geste des deux mains frottées qu’il faisait pour étaler sur sa paume la noix de crème à faire reluire les cheveux comme des souliers de bal, je me souviens, peréquiennement, que le tube de Gomina était rouge et celui de Pento blanc et noir.” (Olivier Rolin, Extérieur monde)
DIMANCHE.
Volière du Parc National du Bic.
Identification d’un Junco ardoisé.
LUNDI.
Bestiolaire de la rivière York.
Identification d’une Piéride des jardins.
MARDI.
Volière de Carleton-sur-Mer.
Identification d’un Grand Chevalier.
Lecture.
Maria Chapdelaine (Louis Hémon, Grasset, 1921, rééd. Librairie Générale Française, coll. “Le Livre de poche” n° 685, 1967, 256 p., s.p.m.).
MERCREDI.
Éphéméride.
“Lettre de Vincent d’Indy, répondant à ma demande du 20. Il tient à parfaire l’éducation musicale de Madeleine et il en sera, cette année, comme les années précédentes. Au seuil de l’Apocalypse est considéré par lui comme une très grande œuvre d’art et il a vibré infiniment à L’Âme de Napoléon.” (Léon Bloy, La Porte des humbles, 27 septembre 1916)
Bestiolaire du lac Matapédia.
Identification d’une Coccinelle stigma et d’un Syrphe des mares de l’ouest.
Volière du même endroit.
Identification d’un Goéland à bec cerclé.
Vie au loin.
Arrivée à Saint-André-de-Kamouraska, chez Andrée qui nous attend avec Claude, retour de Québec. Le soleil se couche sur le Saint-Laurent et les guitares sont de sortie pour une session qui nous voit revisiter Stephen Faulkner, Johnny Cash, John Denver, Willie Nelson, Gordon Lightfoot, Jim Croce et d’autres. Ma voix est un peu abîmée par trois jours de toux continuelle mais ça tient à peu près.
JEUDI.
Vie au loin.
Nous retraversons le fleuve de Rivière-du-Loup à Saint-Siméon et rentrons à Québec par Charlevoix. Une poussée jusqu’à Montréal demain et ce sera l’heure du retour. Nous sommes un peu étourdis mais ça en valait la peine puisque nous aurons réussi à accomplir le périple que nous avions prévu. Je l’avais entamé inquiet, je l’achève satisfait, et même heureux. Heureux d’avoir revu des lieux dont j’avais le sentiment de n’avoir pas assez profité précédemment. Heureux d’avoir revu les amis d’ici, quarante ans déjà qu’on se connaît, qu’on se visite d’un côté ou de l’autre de l’océan, et d’avoir été reçu comme le roi Charles ne l’a sans doute pas été en France au même moment. Ne manquait à l’appel que l’ami Jean, mais ce n’est pas grave puisqu’il doit venir en France la semaine prochaine et que nous verrons à ce moment-là. Heureux d’avoir su nous débrouiller dans les villes et sur les routes sans passer pour des ploucs égarés. Heureux d’avoir vu en vrai des piles de boîtes de Paris Pâté, celles qu’ingurgite Paul à la chaîne au cours de son travail d’été. Heureux d’avoir découvert de nouveaux oiseaux et de nouveaux insectes. Heureux enfin d’avoir payé ma dette. Je devais ce voyage à Caroline depuis 1995, date de ma dernière traversée. J’étais parti, elle était restée at home. Nous nous étions rencontrés peu avant mon départ, qui était déjà prévu : je ne pouvais alors imaginer cet événement qui allait bouleverser ma vie – et, accessoirement, la sauver. La dette est apurée, en route pour de nouvelles aventures.
VENDREDI.
Le cabinet de curiosités du notulographe.
Misère de la signalisation routière en Creuse, photos de l’auteur.
Clugnat, 5 août 2022
Lussat, 4 août 2020
SAMEDI.
L’Invent’Hair perd ses poils.
Bellême (Orne), photo de Christophe Hubert, 8 août 2012
Pénestin (Morbihan), photo de Régis Conraud, 27 octobre 2021
Poil et plume.
“… à voir ses cheveux gris, les traits marqués de son visage, il était pris de honte et de désespérance. Quelque chose le poussait à rendre à son corps de la fraîcheur, à le refaire. On le voyait souvent dans le salon de coiffure de l’hôtel; enveloppé du peignoir, allongé sur la chaise, s’abandonnant aux soins d’un coiffeur bavard, il considérait d’un regard tourmenté son image dans le miroir.” (Thomas Mann, La Mort à Venise)
Vie au loin (fin).
C’est l’heure du retour, une heure plus tardive que prévue à cause d’un vol retardé et d’une correspondance ratée. Petit moment désagréable à l’aéroport de Montréal, au moment de passer le contrôle. Je sors de l’appareil radiographique, le préposé me retient et appelle un de ses collègues : “J’ai quelque chose pour toi”. Le quelque chose, c’est moi. Le collègue me renfourne dans l’appareil, me fait adopter différentes positions, remonter ma limace, descendre un peu mon grimpant avant de me lâcher, un peu transpirant mais lavé de tout soupçon.
DIMANCHE.
Lecture.
Déjeuner de famille (The Stories of John Cheever, John Cheever, Alfred A. Knox, 1978 pour l’édition originale, Joëlle Losfeld, 2007 pour la traduction française, rééd. Gallimard, coll. “Folio” n° 4999, traduit de l’américain par Dominique Mainard et Florence Lévy-Paolini, 2010; 416 p., 9,70 €).
Nouvelles.
LUNDI.
Lecture.
Bas les cœurs ! (Georges Darien, Alfred Savine éditeur, 1889, rééd. Omnibus, “Voleurs !”, 2005; 1384 p., 25 €).
Le Secret de la Licorne (Hergé, Casterman, 1943; 62 p., 11,95 €).
MERCREDI.
Éphéméride.
“Lundi 4 octobre [1954]
Rouen. De nouveau effroyable mal de tête et fatigue, fatigue… Je me couche après le déjeuner et dors jusqu’à cinq heures. Et puis, ce matin, je me suis ouvert l’index droit en abaissant une glace dans l’autobus. Après avoir saigné, ça suppure et ça me gêne pour écrire.” (Jacques Brenner, Journal, tome II : À Saint-Germain-des-Prés 1950-1959)
VENDREDI.
Football.
SA Épinal – Rouen 1 – 1.
Le cabinet de curiosités du notulographe.
Cabines téléphoniques en reconversion.
Damme (Belgique), photo de Jean-François Fournié, 24 septembre 2021
Metz (Moselle), photo d’Alice Didion, 17 septembre 2022
SAMEDI.
Films vus.
- Anatomie d’une chute (Justine Triet, France, 2023)
- La Chambre de l’évêque (La stanza del vescovo, Dino Risi, Italie – France, 1977)
- Plancha (Éric Lavaine, France, 2022)
- Arlington Road (Mark Pellington, É.-U., 1999).
L’Invent’Hair perd ses poils.
Cully (Suisse), photo de Jean Prod’hom, 16 août 2012
Fontainebleau (Seine-et-Marne), photo de Jean-Damien Poncet, 19 novembre 2016
Poil et pellicule.
Le Musée des merveilles (Wonderstruck, Todd Haynes, É.-U., 2017)
Bon dimanche,
Philippe DIDION
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